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t sacré autour duquel s’est constitué le groupe. (
Récits
symboliques de la vie et de la mort des dieux, légendes expliquant le
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a mènerons. Sourds et aveugles aux « charmes » du
récit
, essayons de résumer « objectivement » les faits qu’il nous rapporte
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’expliquer certaines contradictions frappantes du
récit
. Selon la thèse officiellement admise, l’amour courtois est né d’une
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i va de soi ? Qu’on lise alors, attentivement, le
récit
des trois ans dans la forêt. Ses deux scènes les plus belles, qui son
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a repousser. Pourquoi préférons-nous à tout autre
récit
celui d’un amour impossible ? C’est que nous aimons la brûlure, et la
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ements et de leurs punitions exigeait la forme du
récit
, et non plus de la simple chanson79. Ainsi s’explique par des raisons
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rmine à lui seul la courbe puissante et simple du
récit
. Mais en même temps, Tristan est le plus « breton » des romans courto
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des irlandaises, nous trouvons un grand nombre de
récits
qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran,
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n quête du baume magique. D’autre part, plusieurs
récits
de ce cycle irlandais figurent les prototypes assez exacts des situat
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dans la mort des amants. Reprenons par exemple le
récit
de l’« aspre vie » dans la forêt de Morois. « Nous avons perdu le mon
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mystiques espagnols ont coutume d’insister sur le
récit
de leurs souffrances. Plus la lumière et l’amour divin sont vifs, plu
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de la bienheureuse Angèle de Foligno, et tant de
récits
des Fioretti 103, attestent que la rhétorique des troubadours et des
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mythe courtois dans la vie « profanée ». C’est le
récit
des tentatives de plus en plus désespérées que fait l’Éros pour rempl
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t par ailleurs ne font qu’adapter du français les
récits
de Chrétien de Troyes. On traduit le roman de Tristan dans toutes les
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s et les romans de la Table ronde multiplient les
récits
de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier est faite du nombre de
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ble coup d’épée. Les exagérations sauvages de ces
récits
ne laissent pas de doute sur ce qui flatte la vraie passion de l’homm
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sacrement catholique se justifierait soit par le
récit
du miracle de Cana (« simple hypothèse », dit l’auteur) ; soit par le