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dura. Mais emporté par la violence de la première
révélation
, qui parfois embrase le sang, il enfreint la règle des « purs ». Le b
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t la passion totale qu’ils accueilleront comme la
révélation
dernière, dans la mort. Ainsi de leur attitude envers les créatures :
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me de la passion, attend de l’amour fatal quelque
révélation
, sur lui-même ou la vie en général : dernier relent de la mystique pr
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ie caché ! Et plus rien ne compte en regard de la
révélation
mythique. (Pas même la couronne s’il est roi). Voilà le vrai « mariag
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onduire qu’à la mort. Mais l’homme qui croit à la
révélation
de l’Agapè voit soudain le cercle s’ouvrir : il est délivré par la fo
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x yeux de qui préfère le mythe et veut croire aux
révélations
de la passion. 205. B. Croce, Etica e Politica. 206. Leo Ferrero,