1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
1 ns révolutionnaires, et dont les traits constants témoignent d’une origine commune, d’une tradition fidèlement conservée. Toutes c
2 bourgeoisé. (Çà et là une citation, une allusion, témoignent de la connaissance que Rousseau avait de Pétrarque, véritable invente
3 rapidement et complètement ne saurait d’ailleurs témoigner d’une vitalité sociale exceptionnelle : c’est plutôt la frivolité du
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
4 voquaient parfois d’éclatants adultères, comme le témoigne à propos du tournois de 1389, le Religieux de Saint-Denis, et sur la
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VII. L’Amour action, ou de la fidélité
5 t porte en lui-même une vérité imperturbable s’il témoigne sans cesse en faveur de ce qui transcende tout résultat, même excelle
6 de Tristan détruisait son bonheur et sa vie pour témoigner en faveur de la Nuit, c’est-à-dire du moi glorifié. L’amour fidèle da
7 glorifié. L’amour fidèle dans le mariage chrétien témoigne que la volonté de Dieu, même quand elle ruine notre bonheur, est salu
8 homme soit saint comme Dieu est saint. Et l’homme témoigne de son amour pour une femme en la traitant comme une personne humaine