1
supposer qu’il y en eût un, et un seul — nous est
totalement
inconnu. Les cinq versions « originales » qui nous restent sont des r
2
tout, le problème du lyrisme provençal resterait
totalement
obscur, comme il ressort de l’aveu même des romanistes. Or je répète
3
roduite dans la bulle : Nous nous métamorphosons
totalement
en Dieu et nous nous convertissons en lui de la même manière que le p
4
ité. C’est là qu’est son devenir. Elle devient si
totalement
un seul être qu’il ne reste pas d’autre distinction que celle-ci : Lu
5
. Mais ils ne purent ou ne voulurent les anéantir
totalement
: de nos jours, on retrouve çà et là des communautés mennonites mêlée
6
et suivre une voie que le malheur des temps rend
totalement
impraticable. L’Église de Rome a triomphé. Mieux vaut dès lors se met
7
le d’être servi, c’est celui qui nous posséderait
totalement
et qui, par sa fuite même, nous enflammerait sans cesse davantage — c
8
exactitude, parfois de profondeur ; mais elle est
totalement
pessimiste — puisque aussi bien il s’agit d’une erreur et dont il se
9
’envahissement de notre conscience par le contenu
totalement
profané du mythe. Celui-ci cesse d’ailleurs d’être un vrai mythe dès
10
menés vers la jouissance des choses, c’est-à-dire
totalement
invertis par rapport à l’amour courtois. La religion des troubadours
11
ression « essentiellement lyrique » nous parvient
totalement
profanée, et par suite dénaturée. Voici les forces en présence : d’un