1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
1 supposer qu’il y en eût un, et un seul — nous est totalement inconnu. Les cinq versions « originales » qui nous restent sont des r
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
2 tout, le problème du lyrisme provençal resterait totalement obscur, comme il ressort de l’aveu même des romanistes. Or je répète
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
3 roduite dans la bulle : Nous nous métamorphosons totalement en Dieu et nous nous convertissons en lui de la même manière que le p
4 ité. C’est là qu’est son devenir. Elle devient si totalement un seul être qu’il ne reste pas d’autre distinction que celle-ci : Lu
4 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
5 . Mais ils ne purent ou ne voulurent les anéantir totalement  : de nos jours, on retrouve çà et là des communautés mennonites mêlée
6 et suivre une voie que le malheur des temps rend totalement impraticable. L’Église de Rome a triomphé. Mieux vaut dès lors se met
7 le d’être servi, c’est celui qui nous posséderait totalement et qui, par sa fuite même, nous enflammerait sans cesse davantage — c
8 exactitude, parfois de profondeur ; mais elle est totalement pessimiste — puisque aussi bien il s’agit d’une erreur et dont il se
9 ’envahissement de notre conscience par le contenu totalement profané du mythe. Celui-ci cesse d’ailleurs d’être un vrai mythe dès
10 menés vers la jouissance des choses, c’est-à-dire totalement invertis par rapport à l’amour courtois. La religion des troubadours
5 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VI. Le mythe contre le mariage
11 ression « essentiellement lyrique » nous parvient totalement profanée, et par suite dénaturée. Voici les forces en présence : d’un