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ertains abjurèrent l’hérésie sans abandonner le «
trobar
» ? Eh oui ! tout comme tel converti dans la plus récente poésie, vou
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e est singulièrement curieux) une école, celle du
trobar
clus, dont l’ambition était de voiler la pensée sous l’ambiguïté des
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ens cryptographique. Je veux parler de l’école du
trobar
clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes : « Un autr
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l’usage à l’expression de l’amour humain.56 » Le
trobar
clus ne serait ainsi qu’un jeu littéraire, un « tarabiscotage », « un