1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 ertains abjurèrent l’hérésie sans abandonner le «  trobar  » ? Eh oui ! tout comme tel converti dans la plus récente poésie, vou
2 e est singulièrement curieux) une école, celle du trobar clus, dont l’ambition était de voiler la pensée sous l’ambiguïté des
3 ens cryptographique. Je veux parler de l’école du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes : « Un autr
4 l’usage à l’expression de l’amour humain.56 » Le trobar clus ne serait ainsi qu’un jeu littéraire, un « tarabiscotage », « un
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
5 encore ce qu’est l’Amour. N’avaient-ils retenu du trobar clus que le procédé mystifiant ? On serait assez tenté de le croire,
6 ntenant nous pouvons distinguer les thèmes que le trobar mêlait dans la naïve transparence de ses symboles. Voici les derniers