1 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 e exigence de pureté qui est l’extrême exigence d’ Unité . Mais l’unité dernière est négation de l’être actuel, dans sa souffra
2 pureté qui est l’extrême exigence d’Unité. Mais l’ unité dernière est négation de l’être actuel, dans sa souffrante multiplici
3 aient pas une nation. Ils n’avaient pas d’autre «  unité  » que celle d’une civilisation, dont le principe spirituel était main
4 ès de nous que Platon et les druides, une sorte d’ unité mystique du monde indo-européen se dessine comme en filigrane à l’arr
5 itique iconoclaste dont il espérait voir sortir l’ unité religieuse de l’Empire oriental-occidental. Son échec est significati
2 1939, L’Amour et l’Occident. Livre III. Passion et mystique
6 oulent l’un dans l’autre, donnant naissance à une unité d’être. Eckhart ne connaît ni cette ivresse ni cet amour « pathologiq
7 angé en lui parce que lui-même me fait être sien. Unité et non similitude. Par le Dieu vivant, il est vrai qu’il n’y a plus l
3 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
8 même élan qui portait l’âme vers la lumière et l’ unité divine, considéré du point de vue de ce monde n’est plus qu’un élan v
9 re, l’être aimé, le moi), tout ce qui n’est pas l’ Unité incréée, la dissolution sans retour. Mais cet enthousiasme est réel,
4 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
10 t nous inciter à réviser bien des jugements sur l’ unité spirituelle de la société médiévale !) Or s’il est vrai que cette mor
11 Elle fut nationale par la suite pour conquérir l’ unité des races, la nationalité. C’est la thèse des Italiens et des Prussie