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tre salut est dans le Pacte que nous avons conclu
au nom de
Dieu. 3e officier. — Tu es fou, Nicolas, avec ton Pacte ! À la gu
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olas. — Parlez, seigneurs, et je vous répondrai,
au nom de
Dieu qui nous entend, et de mon peuple qui m’écoute. Hornek. — L’
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ule base sûre : l’alliance des cantons entre eux,
au nom de
Dieu. Si nous gardons le Pacte, nulle puissance, et pas même le duc T
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otre alliance est faite pour notre seule défense,
au nom de
Dieu, et non pas pour vos folles conquêtes au nom du diable qui s’app
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centre de la place.) Le président (lisant). —
Au nom de
la vénérable Diète des huit cantons confédérés ! Considérant tous les