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la fin de notre paix par le triomphe du parti des
conquêtes
. L’or de Bourgogne les rend fous, tous ceux des villes ! S’ils gagnen
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ar l’union, et que le temps de la grandeur et des
conquêtes
s’ouvre à nous, je vous adjure et je vous dis : Confédérés, faisons t
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défendre leur droit : Vous parlez aujourd’hui de
conquêtes
. Quand vous nous dites : Unissons-nous ! c’est pour la guerre. Quand
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fense, au nom de Dieu, et non pas pour vos folles
conquêtes
au nom du diable qui s’appelle Mammon. Nous n’avons qu’un seul but :