1 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
1 tinuez, vous pourrez bientôt vous passer de votre père . Jean. —  Alors moi je serai le patron ! Nicolas. —  Oui, tu se
2 e ! Venez embrasser papa ! (Tous embrassent leur père , l’un après l’autre.) Véronique. —  Est-ce que tu vas partir, papa 
3 ier sera sauvé, par toi, de la guerre qui tue les pères et qui dévaste les foyers. Par toi, par ton seul sacrifice, mille et
4 on le droit ? Qui portera le poids du sacrifice ? Père , père, où sont tes fils ? Solitaire, où vont tes pas ? Nicolas dans t
5 droit ? Qui portera le poids du sacrifice ? Père, père , où sont tes fils ? Solitaire, où vont tes pas ? Nicolas dans ton exi
6 solitaire Si tu les tiens dans ta main Éternel, ô Père  ! Le chœur céleste et le chœur des enfants. Louons l’Éternel des
2 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
7 i s’approche). —  Bénis soyez-vous de Dieu, chers pères et frères. Pourquoi êtes-vous venus dans cette solitude ? L’abbé. 
8 suis-je pour vous avertir ? Pardonnez-moi, chers pères et frères. C’est un plus grand que nous qui peut nous éclairer. L’
3 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
9 ance de l’État ; — considérant que l’Ordre est le père du travail, dont la discipline est la mère, et dont la fille est la p
10 présentant des campagnes. Altinghausen. —  Nos pères ont combattu pour être libres : Vous voulez aujourd’hui être forts. N
11 libres : Vous voulez aujourd’hui être forts. Nos pères prenaient les armes pour défendre leur droit : Vous parlez aujourd’hu