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al. Et cet État aux cadres géométriques, avec son
armée
, sa bureaucratie, sa police, fonctionnera d’ailleurs d’autant plus fa
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de l’extérieur ; un bloc qui prend l’allure d’une
armée
. Le vice d’un tel système, c’est qu’il stérilise peu à peu toutes les
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us ces éléments réunis ont provoqué la création d’
armées
considérables, agrandissant le phénomène de la guerre, brusquement, a
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atal. En présence des machines, des capitaux, des
armées
et des villes, des états énormes qui s’édifiaient — en présence des é
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ous trois chefs principaux : opinions, culture et
armée
. 1. L’opinion suisse, telle que la traduisent nos journaux est en con
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s Suisses moyens — et même les autres.) 3. Avec l’
armée
, je reviens au concret, ou du moins à ce qu’on tient pour tel dans un
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dit assez pour que je n’aie pas à insister, que l’
armée
d’un petit pays neutre est très facilement justifiable, aux yeux du p
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t absolument dans la ligne du fédéralisme réel26.
Armée
démocratique, dit-on, milice populaire, dépourvue de l’esprit de cast
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litaires. Oui, c’est bien là ce que doit être une
armée
consciente de son rôle de garde neutre. Il s’agit que cette conscienc
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l s’agit que cette conscience reste vivace. Que l’
armée
soit proche du peuple, cela doit avoir pour effet idéal de « civilise
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esprit public. Il est important de rappeler que l’
armée
d’une fédération ne conserve sa raison d’être que si l’on croit à cet
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s redoutables. Il est important de rappeler que l’
armée
étant chose fédérale, ne peut être l’armée d’une classe, de ses intér
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que l’armée étant chose fédérale, ne peut être l’
armée
d’une classe, de ses intérêts, de son ordre. Il n’y aurait aucun avan
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uve que l’on est un bon Suisse. Après tout, notre
armée
n’est qu’un aspect de notre défense fédérale. Et un aspect subordonné
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ement qui donne un sens à la fédération, donc à l’
armée
qui la défend. Je ne crois pas d’ailleurs que les armes matérielles s
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artis pris spirituels bien plus puissants que les
armées
. 19. Par exemple : les droits des communes et ceux du canton ; les d
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ux, un projet d’organisation tout analogue pour l’
armée
d’un état personnaliste. 27. « La Suisse a dû prendre au cours de ce
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tifiée, pièces chargées, et derrière tout cela, l’
armée
qui guette et qui travaille encore dans les forêts, dans les ravins e
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ravins et dans les champs neigeux ; et derrière l’
armée
, un peuple entier qui guette, et qui travaille lui aussi jour et nuit
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our arrêter les hommes, les chars d’assaut et les
armées
d’envahissement. Certes, nous sommes matériellement en état de garder
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it, en effet, conquérir un pays qu’au moyen d’une
armée
, et les armées n’ont jamais occupé autre chose que du terrain. C’étai
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conquérir un pays qu’au moyen d’une armée, et les
armées
n’ont jamais occupé autre chose que du terrain. C’était donc le terra
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i que depuis quelques années, ce ne sont plus les
armées
qui conquièrent un pays. Mais c’est d’abord la propagande. Ce n’est p
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des tragédies autrichiennes et tchécoslovaques. L’
armée
ne vient qu’en dernier lieu, quand le principal a été fait par les ag
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nt été une proie facile pour l’étranger, pour les
armées
de la Révolution française. Je voudrais insister sur ce point : si no
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fortifier, moralement, si nous voulons que notre
armée
défende quelque chose de valable. Or quels sont les ennemis intérieur
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s italiennes, l’instinct germanique de la liberté
armée
, la rivalité entre l’empereur et les grands vassaux, la nécessité et
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ce : elle l’affirme au contraire ! Le devoir de l’
armée
est de garantir par la force l’intégrité de notre indépendance, et no