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er, il convient de dire qui l’on est, de préciser
au nom de
quoi l’on parle ; et ce ne peut être, sérieusement, qu’au nom d’une f
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rois pays se feront la guerre, ils la feront tous
au nom de
la liberté… Et l’ordre enfin signifiera tantôt le statu quo social, s
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talitaires justifient les rigueurs de leur régime
au nom de
lois économiques, ou historiques, ou biologiques. Or il est clair que
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Chacun pour soi, l’État pour tous ! ») Oui, c’est
au nom de
cette mission de gardienne du principe commun que la Suisse peut et d
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Blum22, ce n’est pas — comme ce pourrait l’être —
au nom de
la démocratie réelle, communale et fédéraliste, mais au nom d’intérêt
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e juger ce qui se passe chez nos voisins non plus
au nom de
la droite française ou de la gauche allemande émigrée, mais au nom du
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remiers. Mais à cette seule condition : de savoir
au nom de
quoi nous parlons. Et ce ne peut être qu’au nom de l’avenir de l’Euro
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u nom de quoi nous parlons. Et ce ne peut être qu’
au nom de
l’avenir de l’Europe, puisque c’est cela que nous sommes dès maintena
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sins qui sont trop petits pour se défendre seuls.
Au nom de
ce concept d’espace vital, elle déclare donc que ces États n’ont plus
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ire seulement, mais spirituelle au premier chef :
au nom de
la mission de la Suisse dans la communauté européenne. Non, la neutra
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ce serait bien mal la défendre que de la défendre
au nom de
nos seuls intérêts helvétiques, car elle ne peut et ne doit subsister
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étiques, car elle ne peut et ne doit subsister qu’
au nom de
l’intérêt de l’Europe entière. Seule, la mission positive de la Suiss
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que nos Églises devraient soutenir, précisément,
au nom de
leur vocation d’Églises suisses. Ceci m’amène à mon troisième et dern