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e, être un homme libre et pourtant relié, c’est l’
idéal
de l’homme occidental. N’allons pas dire que c’est une utopie ! Car c
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st une utopie ! Car ce problème a été résolu, cet
idéal
réalisé, au ier siècle de notre ère, par les communautés de l’Église
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oisins, on pourrait croire que c’est à peu près l’
idéal
que Keyserling juge à notre mesure, celui du tenancier du grand palac
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chez nous, n’est en fait qu’une dégradation de l’
idéal
qui devrait nous unir. La devise des Suisses : « Un pour tous, tous p
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soit proche du peuple, cela doit avoir pour effet
idéal
de « civiliser » la milice et non de militariser l’esprit public. Il
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s, représentent la négation la plus radicale de l’
idéal
fédéraliste qui nous unit, par conséquent, la plus grave menace pour
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oute l’éthique fédéraliste, et c’est aussi tout l’
idéal
œcuménique, que nos Églises devraient soutenir, précisément, au nom d
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out, dominant l’un et l’autre, il y a l’idée et l’
idéal
du Saint-Empire, c’est-à-dire de l’Europe unie, dont il faut protéger
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l’esprit. C’est une interminable interaction de l’
idéal
et de la nécessité, de l’intérêt local et de l’intérêt commun, de la
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groupe de puissances voisines. Or l’Europe est un
idéal
, une civilisation et un esprit, bien plus qu’une entité géographique.
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par où s’échangent les richesses, gardienne de l’
idéal
d’où renaîtra la paix si Dieu le veut, la Suisse tient les clefs de l