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s d’Oxford, mouvement des groupes personnalistes,
répandus
en France et en Suisse, et vingt autres mouvements analogues, tous an
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’abord nous défendre, certes, mais c’est aussi le
répandre
au-dehors, le prêcher à l’Europe, le propager, et préparer par nos ét
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otre vocation me paraissent inséparables. Il faut
répandre
l’idée fédéraliste, si nous voulons la sauvegarder, car on ne se défe
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compromis, mais dans cette clarté rigoureuse que
répand
seule la véritable charité ; c’est toute l’éthique fédéraliste, et c’