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er, dès le départ, que l’état de fait créé par le
traité
de Vienne est aussi mal interprété par ses garants que par ses soi-di
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odernes n’ont pas été créés par Dieu, mais par le
traité
de Versailles. Et c’est bien vrai. Elle dit aussi que d’autres États,
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tits États, ont été créés, eux aussi par d’autres
traités
plus anciens, qui se trouvent en contradiction avec l’évolution récen
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devons rester neutres, nous dit-on, parce que les
traités
nous y forcent. Et certes, aux yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les
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ertes, aux yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les
traités
ne seront jamais de simples chiffons de papier ! La Confédération res
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edouter sont justement ceux qui déclarent que les
traités
et les serments ne sont faits que pour être violés. Enfin, l’on donne
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rêt général en Europe. Rester neutres au nom d’un
traité
signé à Vienne il y a plus de cent ans, soit ! Mais il ne faudrait pa
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ans, soit ! Mais il ne faudrait pas retenir de ce
traité
uniquement ce qui nous semblerait y garantir notre sécurité ; car le
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plusieurs pages pour énumérer simplement tous ces
traités
enchevêtrés, qui se résoudront finalement dans un traité unique et un
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enchevêtrés, qui se résoudront finalement dans un
traité
unique et uniforme instituant l’État fédératif. Pendant des siècles,
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édéralistes, dans son sens étymologique. (fœdus =
traité
, serment, union.) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédé
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é par les faits. 14. Neutralité « morale ». — Les
traités
nous reconnaissent une neutralité politique et militaire. Ils nous ob