1 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
1 pour un destin pareil ? Un génie n’est ni fou ni bête , ni sensé ni intelligent. Il ne s’appartient pas, n’a pas de qualités
2 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
2 noffensifs, souvent grandioses et toujours un peu bêtes , mais à l’ensemble de nos entreprises économiques, politiques et urba
3 s ! » On dirait qu’il veut les punir d’être aussi bêtes . Mais le Dante imagine qu’ils se seraient bien punis tous seuls. Il n