1 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
1 plus beau, c’est que cela réussit : ils devinrent chrétiens . Nous suivions le groupe qui se dirigeait vers les salons. Et je pens
2 gereux de dire la vérité en général, et la vérité chrétienne en particulier. Dangereux pour celui qui la dit ! Si nous voulons êtr
3 reux pour celui qui la dit ! Si nous voulons être chrétiens , soit, mais sachons de quel prix cela se paye. Il y a dix-neuf siècle
2 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
4 a lutte qu’il mène contre les Églises et le monde chrétien n’est qu’un premier avertissement à nous armer pour le Combat final,
5 it qu’une telle religion hait mortellement la foi chrétienne , tournée vers le pardon, le futur éternel, le rachat du péché d’origi
3 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
6 ujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véritable, s’il existait, serait cet homme qui n’aurait d’autre ennem
7 été le fait de la démocratie bourgeoise, mais de chrétiens comme Niemöller, ou de révolutionnaires mystiques. Après tout, dira-t
4 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
8 par les traditionnels avertissements de la chaire chrétienne , a toujours vu dans la « mondanité » quelque chose de vaguement satan
9 stiné par un acte divin. Croyance essentiellement chrétienne à l’origine, et dont cette phrase du Mystère de Jésus nous donne peut
5 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
10 ons-nous faire maintenant ? Je dirai la réponse «  chrétienne  » — le christianisme est à réinventer — comme la seule que je sente a