1 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
1 roient qu’Hitler est le diable en personne. Si le Führer était le diable ou l’Antéchrist, ce serait peut-être un peu trop simp
2 nde. Et, qu’on me pardonne, si le diable était le Führer , il ne serait qu’un assez pauvre diable. Quand nous nous figurons qu’
3 abolique. Et je vois peu d’aspects de l’action du Führer qui ne portent en évidence l’insigne satanique. 16. Le diable en c
4 s de circulation et des erreurs de l’histoire. Le Führer déclarait un jour qu’il ne craint pas les Ravaillac, parce que sa mis
5 naire, l’effrayant, c’est de voir à quel point le Führer , le « guide », le directeur de l’inconscience allemande, est en même
6 up ont découvert le sens de cette parole quand le Führer est entré dans Paris. Pour ma part, j’écrivis ce jour-là une page qui
7 st pas l’aspect le moins diabolique de l’œuvre du Führer , que le caractère de châtiment sans pitié des faiblesses du monde mod
8 . Le Faussaire Beaucoup de gens pensent que le Führer doit être très méchant pour faire ainsi la guerre à tout le monde. Ma
2 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
9 verse, le point où nos accusations, délaissant le Führer et les siens, vont porter de plein fouet contre nous-mêmes. Beaucoup
10 dénoncer, mis en œuvre cette fois non plus par le Führer , mais par le Prince de ce monde et par Légion lui-même. « Voyez, je n
3 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
11 erwache ! — Allemagne, réveille-toi ! hurlait le Führer , au moment même où il plongeait son peuple dans le cauchemar de l’hyp