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mesures mêmes du beau. Il n’y a plus de fautes de
goût
possibles là où n’existe plus de goût, comme il n’y a pas de crime po
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e fautes de goût possibles là où n’existe plus de
goût
, comme il n’y a pas de crime possible là où n’existe pas de Loi. Peut
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un disait : Si Paris est détruit, j’en perdrai le
goût
d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est
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éliminer froidement ce qui n’est pas conforme aux
goûts
appris ; sa propension presque maniaque à n’attacher de l’importance
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nts qu’entraîne sa fréquentation. Ce n’est pas le
goût
ni même le pédantisme de la forme qui est satanique, c’est le goût de
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édantisme de la forme qui est satanique, c’est le
goût
de la forme imitée. Le milieu mondain le plus suavement correct et mo
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ombre au diable devint très riche, mais perdit le
goût
de vivre. C’est l’une des plus belles fables de ce monde, l’une des p
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ante dentition ! Comment cette belle humeur et ce
goût
de mieux vivre pourraient-ils être diaboliques ? Les démons, ce sont
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s politiciennes de nos pseudo-démocraties, et les
goûts
de leur « grand public » tels que les entretiennent et les exploitent
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, embrouillant nos vertus dans nos vices et notre
goût
naturel du bonheur dans le vertige du malheur ; et qu’elles réfutent