1 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
1 t complètement différent. 5. Je ne parle pas des héros de la guerre, mais de la paix. 6. Est-ce un si grand bien ? Pour le
2 Pour le grand nombre, oui, probablement. Pour le héros , non. Pour le saint, c’est indifférent. 7. Je pense à Mein Kampf, au
2 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
3 ’est pourquoi l’un des premiers malheurs de notre héros est de ne plus pouvoir aimer ni être aimé.) J’ai dit que la liberté d
4 s savons le mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de Stendhal : « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle,
3 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
5 achait au mot même, qui avait électrisé jadis les héros de la Révolution. La morale était ennuyeuse, et le gangster plein de