1 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
1 t de discipline mécanique, jusqu’à la mort, terme idéal de toute passion. Autrefois les hommes demandaient des directeurs de
2 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
2 e nos défauts, Hitler est le négatif exact de nos idéaux optimistes, dans la mesure où ils étaient irréalistes, utopiques comm
3 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
3 dieux qu’il va se dissimuler, au cœur même de nos idéaux et de nos vérités trop humaines, dans les religions que nous confabul
4 sentiments, de vrais types de vie haute, de vrais idéaux qui propagent une énergie, une virtu contagieuse. Presque toute la li
5 grandioses nos propres découvertes, « vertus » et idéaux . Kierkegaard a compris mieux que quiconque, et avant tous, le princip
6 utes nos inventions techniques, la plupart de nos idéaux , enfin l’évolution générale du temps, favorisent ce Plan de mille man
4 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
7 , — et en même temps de l’attaquer avec un nouvel idéal . Car ainsi nous ne serons pas annexés par l’extérieur, mais nous ne l
8 ommage que la faiblesse des foules rend à quelque idéal très obscurément pressenti. L’effort présent doit se porter vers une
9 vers une définition intransigeante et claire de l’ idéal qui seul justifie notre lutte ; et vers la recherche de moyens d’inco
10 ; et vers la recherche de moyens d’incorporer cet idéal , qui ne soient point eux-mêmes des trahisons de leur fin. Il faut aid
11 rend la chose au sérieux. Dirai-je maintenant mon idéal et ma vision ? Mon horreur des programmes n’a d’égale que l’étendue d