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e d’abord que son œuvre va le tromper. La réalité
méprisée
se vengera automatiquement. Le péché est une faute, mais faute signif
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us appartient pas. Et l’hitlérisme enseigne de le
mépriser
. Ce n’est pas l’aspect le moins diabolique de l’œuvre du Führer, que
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omme on hait, que sa tendresse avide tyrannise ou
méprise
, que ses dons sont autant de violences intimes, et qu’il en vient à s
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our connaître les hommes, il ne suffit pas de les
mépriser
. »21 « Les personnes faibles ne peuvent être sincères. »22 Et je rêve