1 rit, il est devenu le messager du Néant et de ses mystères . Mais quoique déchu, il a gardé sa science d’esprit pur. Comme un art

2  » d’esprit pur. Il en sait plus que nous sur les mystères du monde et le secret des âmes qu’il abuse… 4. Le Prince de ce mon

3 Ciel, qui est proprement l’âme de ce monde et le mystère du transcendant dans l’immanence. Il n’aura de notre univers que la c

4 ; pour se châtier soi-même sans réparer. C’est le mystère du suicide et la logique de Judas, la dernière tentation, la suprême

5 de son propre mensonge. » Par ici nous entrons au mystère du mal. Le père de son mensonge est celui qui l’engendre, le conçoit

6 diable est simplement le démon rouge et cornu des mystères médiévaux, ou le faune à barbiche de chèvre et à longue queue des lég

7 ait, qui parût se rapporter de près ou de loin au mystère des oiseaux agresseurs. Un an s’écoula, sans progrès. Le médecin comm

8 r la Providence : — « Ah ! vous ne croyez plus au mystère  ? Eh bien, je pose ce fait dans votre histoire, expliquez-le si vous

9 ns l’énorme, qu’il croie la science ou invoque le mystère , l’homme d’aujourd’hui montre une constante et masochiste propension

10 t chrétienne à l’origine, et dont cette phrase du Mystère de Jésus nous donne peut-être l’expression la plus poignante : « Je p

11 ce que c’est elle ». L’amour accepte avec joie ce mystère , d’une « injustice » aussi flagrante, cependant, que celle que l’on r

12 ec la liberté de l’être aimé et le respect de son mystère . Rien de moins ne suffirait pour construire ce chef-d’œuvre de l’amou

13 l’ensemble de l’Univers, ses lois connues et ses mystères . Dans le même temps le développement aberrant de nos morales rational

14 ses, avec les êtres, avec leur science, avec leur mystère , et le mien, — un voisinage m’est rendu ! 47. L’ordre social C’

15 as un grand mal. Mais ils ne pourront rien sur le mystère qui fait qu’à de certains moments, certains mots nous parlent, et non