1 1942, La Part du diable. Première partie. L’Incognito et la Révélation
1 tère des oiseaux agresseurs. Un an s’écoula, sans progrès . Le médecin commençait à désespérer, il envisageait même d’abandonner
2 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
2 sans s’en douter, a remplacé la Providence par le progrès automatique. Devant les résultats présents de cette croyance quasi un
3 et l’élite, l’on est induit à reconnaître que le Progrès automatique n’était qu’un déguisement du diable. Non pas qu’aucun pro
4 ait qu’un déguisement du diable. Non pas qu’aucun progrès réel soit diabolique en soi ! Mais si l’on s’abandonne au rêve du Pro
5 ique en soi ! Mais si l’on s’abandonne au rêve du Progrès , laissant aller les choses avec l’arrière-pensée fataliste et réconfo
6 oi-même, dans l’ensemble et à la longue, alors le Progrès devient le plus dangereux des soporifiques, une véritable drogue du d
3 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
7 eptables à mesure que se répandent les notions de Progrès indéfini, de confort à tout prix, de succès rapide, et à mesure que s
8 vec plus de ferveur il n’approcha des buts de son Progrès , jamais non plus sa barbarie ne se montra mieux armée pour les détrui
9 nt nous avions une idée naturelle, le bonheur, le progrès , la durée vers le mieux… Mais nous mourons, c’est toujours surprenant
4 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
10 en plus nos fautes » m’indiquent le sens du seul progrès humain non équivoque15. Le sommet de la sainteté n’est pas dans la ce