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tère des oiseaux agresseurs. Un an s’écoula, sans
progrès
. Le médecin commençait à désespérer, il envisageait même d’abandonner
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sans s’en douter, a remplacé la Providence par le
progrès
automatique. Devant les résultats présents de cette croyance quasi un
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et l’élite, l’on est induit à reconnaître que le
Progrès
automatique n’était qu’un déguisement du diable. Non pas qu’aucun pro
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ait qu’un déguisement du diable. Non pas qu’aucun
progrès
réel soit diabolique en soi ! Mais si l’on s’abandonne au rêve du Pro
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ique en soi ! Mais si l’on s’abandonne au rêve du
Progrès
, laissant aller les choses avec l’arrière-pensée fataliste et réconfo
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oi-même, dans l’ensemble et à la longue, alors le
Progrès
devient le plus dangereux des soporifiques, une véritable drogue du d
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eptables à mesure que se répandent les notions de
Progrès
indéfini, de confort à tout prix, de succès rapide, et à mesure que s
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vec plus de ferveur il n’approcha des buts de son
Progrès
, jamais non plus sa barbarie ne se montra mieux armée pour les détrui
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nt nous avions une idée naturelle, le bonheur, le
progrès
, la durée vers le mieux… Mais nous mourons, c’est toujours surprenant
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en plus nos fautes » m’indiquent le sens du seul
progrès
humain non équivoque15. Le sommet de la sainteté n’est pas dans la ce