1 et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouvait qu’aux yeux de Dieu c’était le mal… Ainsi la tentation est toujours u

2 e et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve la volupté… La volupté unique et suprême gît dans la certitude de fai

3 l n’y a pas d’autre monde. Si nous le croyons, il se trouve qu’aussitôt nous ne pouvons plus croire à Dieu ni à Satan ! S’il n’y

4 ché en général à la tentation par excellence, qui se trouve être à leurs yeux la sexualité. C’est une vue bien bornée du péché !