1 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
1 e, de vrais idéaux qui propagent une énergie, une virtu contagieuse. Presque toute la littérature immoraliste sécrétée par la
2 ici un trait plus inquiétant : la décadence de la virtu dans notre siècle, sous l’effet de la publicité faite à l’amour vulga
2 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
3 ilité et non la suffisance ; à leur brutalité, la virtu sèche et fière et non pas des calculs « réalistes » ; à la soif de ve
4 Et je rêve d’une anthologie de ces maximes d’une virtu sans jactance… J’imagine que l’humilité passe à travers les murs de l