1 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
1 aines : dans ces deux cas il reste libre, non pas au nom de la Liberté abstraite, mais au nom de sa vocation particulière. S’il c
2 bre, non pas au nom de la Liberté abstraite, mais au nom de sa vocation particulière. S’il choisit au contraire la honte, laissan
2 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
3 a nation. N’est-ce pas ici le lieu de se demander au nom de quoi nos moralistes de la passion pourraient combattre les doctrines
4 e paraît nouvelle, c’est la manière de l’accepter au nom de la Vie et de la Sincérité, — devises de faibles. ⁂ L’amour moderne, s
3 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
5 s de se faire tuer ou de tuer, nous en sommes là, au nom de la liberté et de la démocratie. Cet « un peu » représente une énorme
6 dre contre le bolchévisme ? D’autres se battaient au nom de leur liberté contre un tyran qui menait sa guerre au nom de la libert
7 leur liberté contre un tyran qui menait sa guerre au nom de la liberté du peuple allemand. Cet autocrate botté se proclamait un j
8 ». Mais l’autre dictateur s’est dressé contre lui au nom de la « vraie » démocratie, celle des Soviets, en s’alliant d’autre part