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ont cru voir en lui le diable en personne. Si le
Führer
était le diable ou l’Antéchrist, ce serait peut-être un peu trop simp
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nde. Et, qu’on me pardonne, si le diable était le
Führer
, il ne serait qu’un assez pauvre diable. Quand nous nous figurons qu’
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abolique. Et je vois peu d’aspects de l’action du
Führer
qui ne portent en évidence l’insigne satanique. 18. Le diable en
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circulation et des erreurs de l’histoire. Mais le
Führer
déclarait un jour : Je ne crains pas les Ravaillac, parce que ma miss
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naire, l’effrayant, c’est de voir à quel point le
Führer
, le « guide », le directeur de l’inconscience allemande, est en même
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up ont découvert le sens de cette parole quand le
Führer
est entré dans Paris. Pour ma part, j’écrivis ce jour-là une page qui
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st pas l’aspect le moins diabolique de l’œuvre du
Führer
, que le caractère de châtiment sans pitié des faiblesses du monde mod
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re Beaucoup de gens pensaient vers 1940 : « Le
Führer
doit être très méchant pour faire ainsi la guerre à tout le monde ».