1 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
1 mesures mêmes du beau. Il n’y a plus de fautes de goût possibles là où n’existe plus de goût, comme il n’y a pas de crime po
2 e fautes de goût possibles là où n’existe plus de goût , comme il n’y a pas de crime possible là où n’existe pas de Loi. Peut
2 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
3 un disait : Si Paris est détruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville Lumière n’est pas détruite : elle s’est
4 audra-t-il à ce siècle pour lui faire oublier son goût de la guerre ? Quels drames nouveaux pour remplacer, sur la scène vid
3 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
5 éliminer froidement ce qui n’est pas conforme aux goûts appris ; sa propension presque maniaque à n’attacher de l’importance
6 nts qu’entraîne sa fréquentation. Ce n’est pas le goût ni même le pédantisme de la forme qui est satanique, c’est le goût de
7 édantisme de la forme qui est satanique, c’est le goût de la forme imitée. Le milieu mondain le plus suavement correct et mo
8 ombre au diable devint très riche, mais perdit le goût de vivre. C’est l’une des plus belles fables de ce monde, l’une des p
9 ante dentition ! Comment cette belle humeur et ce goût de mieux vivre pourraient-ils être diaboliques ? Les démons, ce sont
10 ns d’aujourd’hui quel est le sens de leur vie, le goût de leur existence. S’ils trouvent quelque emploi, c’est « un job » si
11 ment, sans qualification ni préférence intime. Le goût de l’argent — ou son besoin — obnubile chez le plus grand nombre un s
4 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
12 rs politiciennes de nos pseudo-démocraties et les goûts de leur « grand public » tels que les entretiennent et les exploitent
13 , embrouillant nos vertus dans nos vices et notre goût naturel du bonheur dans le vertige du malheur ; et qu’elles réfutent