1 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
1 demandaient des directeurs de conscience. Mais la misère des temps et le sentiment d’impuissance qu’éprouvent les individus da
2 elles provoquées soit par la cruelle déesse de la Misère , soit par la torche de la parole jetée dans les masses. Seule une tem
3 aux Chevaux de Marly, les siècles de grandeur, de misère , de sagesse, dont le visage de cette capitale plus douce et plus fièr
4 , comme Satan lui-même, que de la grandeur de nos misères secrètes. En Hitler, le diable avait trouvé l’alibi le plus populaire
2 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
5 ont il persuada le peuple allemand que toutes ses misères venaient de l’extérieur, de l’étranger, du traité de Versailles, ou d
6 ort bien se développer un jour, à la faveur de la misère ou de la fatigue, ou de quelque déséquilibre temporaire. Confessons d
3 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
7 it de la mauvaise littérature. Mais voilà bien la misère du vieux monde. Aux « beaux sentiments » conformistes, nous ne savion