1 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
1 e leur culpabilité. En les fondant dans une masse passionnée , il exalte dans l’âme des plus déshérités une sensation de puissance
2 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
2 profonde ambivalence dans certaines dénonciations passionnées de l’hitlérisme : la violence du ton et le simplisme obstiné de certa
3 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
3 sence et d’absence infinie, créent chez tout être passionné l’illusion d’un transport mystique dans l’au-delà du bien et du mal.
4 tiel qui corrompt secrètement l’amour. Certes, le passionné affecte souvent une sorte de respect méticuleux de la vérité, dans to
5 ures aimées, ardeur cruelle, « tout et rien ». Le passionné finit par voir dans ses souffrances le signe même de l’authenticité d