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tère des oiseaux agresseurs. Un an s’écoula, sans
progrès
. Le médecin commençait à désespérer, il envisageait même d’abandonner
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sans s’en douter, a remplacé la Providence par le
progrès
automatique. Devant les résultats présents de cette croyance quasi un
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et l’élite, l’on est induit à reconnaître que le
Progrès
automatique n’était qu’un déguisement du diable. Non pas qu’aucun pro
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ait qu’un déguisement du diable. Non pas qu’aucun
progrès
réel soit diabolique en soi ! Mais si l’on s’abandonne au rêve du Pro
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ique en soi ! Mais si l’on s’abandonne au rêve du
Progrès
, laissant aller les choses avec l’arrière-pensée fataliste et réconfo
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oi-même, dans l’ensemble et à la longue, alors le
Progrès
devient le plus dangereux des soporifiques, une véritable drogue du d
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ans leur ensemble et leur intention générale, les
progrès
que nous célébrons se résument dans le mot stériliser. Soit en amour
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jésuite à notre expert en popularité, d’immenses
progrès
semblent s’être opérés au point de vue de la moralité. Gracian vous a
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gie proprement spirituelle que représente notre «
progrès
moral ». Allez donc reconnaître le diable dans un monde où chacun ne
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eptables à mesure que se répandent les notions de
Progrès
indéfini, de confort à tout prix, de succès rapide, et à mesure que s
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vec plus de ferveur il n’approcha des buts de son
Progrès
, jamais non plus sa barbarie ne se montra mieux armée pour les détrui
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t pas pire qu’un autre, en dépit des triomphes du
Progrès
. Seule, la distribution des vices et des vertus se modifie, selon que
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nt nous avions une idée naturelle, le bonheur, le
progrès
, la durée vers le mieux… Mais nous mourons, c’est toujours surprenant
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en plus nos fautes » m’indiquent le sens du seul
progrès
humain non équivoque26. Le sommet de la sainteté n’est pas dans la ce