1 1944, Les Personnes du drame. Introduction
1 n’offre au lecteur qu’un effort. Je lui demande d’ éprouver certains rythmes dont l’ampleur ou l’élan propagent un pouvoir. Initi
2 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 1. Le silence de Goethe
2 rpétuellement durant toute sa vie. Et comprendre, éprouver jusqu’à la souffrance — qui est la « substance » — à quel point le re
3 tenue même de l’expression. C’est pourquoi nous l’ éprouvons plus vivement dans certains passages des Affinités électives, d’une a
3 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 2. Goethe médiateur
4 ette grandeur particulière de Goethe ne peut être éprouvée avec plus de reconnaissance, nulle part elle ne peut être aussi toniq
4 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 6. Le Journal d’André Gide
5 er piège évité. Il naît de la difficulté que l’on éprouve à découvrir l’intime hiérarchie qui trahirait, dans ce complexe indiv
6 t réticente. Or toute nature, irrémédiablement, s’ éprouve complexe et réticente. Et l’acte de foi consistera toujours à passer
5 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
7 époque. Quel que soit l’agacement que l’on puisse éprouver devant certaines pages où la simplicité touche à l’affectation, il fa
8 lui a fallu le temps de se faire un langage, d’en éprouver les origines, et d’en autoriser l’emploi concret dans un ordre élargi
9 ant il aborde pour la première fois en public, on éprouve le sentiment de savoir par avance tout ce qu’il doit en dire. Je n’ai
10 rposées entre l’homme et les choses. Aussi bien n’ éprouve-t -il pas le besoin de s’affirmer matérialiste. IIISur un croquis de
6 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
11 de ses mains, à la facilité plusoumoindrea qu’il éprouve à se servir des instruments dont il a la propriété. » Et son corps lu
7 1944, Les Personnes du drame. IV. Une maladie de la personne — 8. Le romantisme allemand
12 n ne peut rien dire. D’où encore le besoin qu’ils éprouvent d’affirmer surabondamment que l’on n’en peut rien dire que par des al