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n’offre au lecteur qu’un effort. Je lui demande d’
éprouver
certains rythmes dont l’ampleur ou l’élan propagent un pouvoir. Initi
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rpétuellement durant toute sa vie. Et comprendre,
éprouver
jusqu’à la souffrance — qui est la « substance » — à quel point le re
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tenue même de l’expression. C’est pourquoi nous l’
éprouvons
plus vivement dans certains passages des Affinités électives, d’une a
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ette grandeur particulière de Goethe ne peut être
éprouvée
avec plus de reconnaissance, nulle part elle ne peut être aussi toniq
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er piège évité. Il naît de la difficulté que l’on
éprouve
à découvrir l’intime hiérarchie qui trahirait, dans ce complexe indiv
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t réticente. Or toute nature, irrémédiablement, s’
éprouve
complexe et réticente. Et l’acte de foi consistera toujours à passer
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époque. Quel que soit l’agacement que l’on puisse
éprouver
devant certaines pages où la simplicité touche à l’affectation, il fa
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lui a fallu le temps de se faire un langage, d’en
éprouver
les origines, et d’en autoriser l’emploi concret dans un ordre élargi
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ant il aborde pour la première fois en public, on
éprouve
le sentiment de savoir par avance tout ce qu’il doit en dire. Je n’ai
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rposées entre l’homme et les choses. Aussi bien n’
éprouve-t
-il pas le besoin de s’affirmer matérialiste. IIISur un croquis de
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de ses mains, à la facilité plusoumoindrea qu’il
éprouve
à se servir des instruments dont il a la propriété. » Et son corps lu
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n ne peut rien dire. D’où encore le besoin qu’ils
éprouvent
d’affirmer surabondamment que l’on n’en peut rien dire que par des al