1 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 2. Goethe médiateur
1 st l’action. Nous sommes obligés, si nous voulons éviter tout malentendu, de recourir, pour caractériser sa thérapeutique, à c
2 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 6. Le Journal d’André Gide
2 du critique commence au-delà de ce premier piège évité . Il naît de la difficulté que l’on éprouve à découvrir l’intime hiéra
3 e soi une idée fausse », c’est bien ce que devait éviter Gide, plus jalousement qu’aucun autre. Est-ce vraiment pour le diminu
4 ôt que Gide est fasciné par l’obstacle qu’il veut éviter . Son horreur du malentendu l’entraîne à livrer au public 1300 pages d
3 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
5 es je ne sais quelle complaisance qui les faisait éviter d’instinct tout point de vue pratiquement bouleversant ? D’autre part
4 1944, Les Personnes du drame. IV. Une maladie de la personne — 8. Le romantisme allemand
6 lessure si cruelle et intime que sa conscience en évite le souvenir (ou le refoule comme dira Freud), de telle manière que la