1 . Ils voulaient leur idée, mais aussi et toujours autre chose , quelque chose d’insignifiant peut-être, quelque chose qu’on n’eût pa

2 onné, sommé de répondre, et incapable de répondre autre chose que le « Toi, tu peux tout » qui devient aussitôt : « Par toi, je pui

3 glises le savent bien. Elles insistent plutôt sur autre chose . On dirait qu’elles préfèrent conserver leurs fidèles… Mais la questi

4 bien serait-ce que tout cela signifie et suppose autre chose  ? Mais il est impossible de savoir quoi : personne n’a traversé le vo

5 de signification satisfaisante, la nécessité « d’ autre chose  » — dont la nature reste inimaginable. Ce sentiment d’angoisse métaph

6 n percepteur : qui peut jurer qu’il est, en fait, autre chose qu’un percepteur61 ? Nous sommes ici dans un domaine où l’on ne saura

7 aucun sens. Une forme donnée n’a pas à signifier autre chose que ce qu’elle montre. Elle ne peut être interprétée que par ses rela

8 éapercevoir que tendent tous les arts, et à nulle autre chose  ; à quoi tendent les notes et à nulle autre chose ; tous les mots qu’

9 autre chose ; à quoi tendent les notes et à nulle autre chose  ; tous les mots qu’on écrit, les tableaux qu’on peint, les statues qu

10 ierre ou qu’on coule en bronze, — à cela, à nulle autre chose . Nous atteignons pour un instant à l’homme des commencements, à l’hom

11 us à l’homme. Au comble de nous-mêmes il s’agit d’ autre chose que de nous. « Tout notre embrassement n’est qu’une question81 ». Or

12 e pour que l’adoption même d’une « origine » soit autre chose qu’un choix délibéré, — quand ce n’est pas un profond calembour. « Il

13 rofondeurs d’eux-mêmes sans qu’ils puissent faire autre chose que de saluer là l’écho d’un discours divin. »87 Alors le doute n’es