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ue des collectivités mensongères à l’utopie d’une
communauté
chrétienne, par l’artifice indispensable, mais peut-être aussi tout f
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ristianisme et du marxisme. Le sens profond de la
communauté
qui anime l’œuvre de Ramuz put induire certains à le qualifier d’« un
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comme lui le sens de la solitude et le sens de la
communauté
, — indissolubles — on est une objection vivante à tout individualisme
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ai dire, et dans le fait, ruinent les bases de la
communauté
. On convient de s’entendre sur des malentendus. Tout le monde parle d
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n nourrit une paix sans racines. (Alors que toute
communauté
réelle naît d’une entente passionnée sur le sens de certains maîtres-
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a vraie personne, elle doit fonder aussi la vraie
communauté
. Et à l’inverse, toute maladie de la personne doit affecter la collec