1
conflit ne peut se résoudre que par le fait d’une
création
. La personne se connaît elle-même dans les actes par lesquels elle as
2
de tout acte véritable, de toute marche, de toute
création
, de toute victoire sur la Nécessité. « Je suis le chemin ». Mais un c
3
s connaître maintenant que seul l’acte de foi est
création
, transformation, nouveauté pure dans le monde, vocation et personne a
4
t au destin personnel. Ainsi l’acte absolu serait
création
absolue, mais un acte de l’homme n’est jamais qu’une rédemption. Dist
5
r à l’acte n’est pas seulement renversement, mais
création
irréversible. Et cela tient à la nature de l’acte, — mieux encore à s
6
rrait-il faire un acte ? Car l’acte est immédiat,
création
et initiation, c’est-à-dire sobriété pure, — quand l’être même du dés
7
is mon temps est vivant et plein de nouveauté, de
création
! Ton éternité immobile c’est l’image même de la mort. L. — Que savon
8
s au contraire la source de tout acte et de toute
création
, une invention totale et perpétuelle, une actualité permanente, la se
9
était vrai, ça se verrait… Ainsi la clé de toute
création
est dans le visage de l’homme. Qu’un homme détienne un pouvoir créate
10
nnaît dans leur sens primitif, dans le sens de la
création
qui tout entière advient à l’homme. Ainsi l’Adam d’avant le Temps vit
11
permanent de l’incarnation des images — ou de la
création
imaginée. Il faut rendre à ce mot son sens fort : imaginer, c’est imi
12
; elle est dans la volonté, dans l’amour, dans la
création
du contact avec l’objet. » Mais on peut dire cela de Goethe aussi ? E
13
e de Stravinsky, du Sacre et des Noces. Un ton de
création
du monde. 74. Dans les essais de Ramuz, ses tics de langage sont trè
14
79. Pour autant, bien entendu, qu’il implique une
création
, qu’il résulte d’une mise en présence effective de l’homme et de ce q
15
L’Art poétique de Claudel La
création
tout entière est un discours adressé à la créature au moyen de la cré
16
ment de tous les êtres, le branle-bas de toute la
création
vers son achèvement intelligible, c’est là vraiment « poétiser », col
17
re qu’il s’isole et s’abstrait du mouvement de la
Création
. « Et c’est pourquoi une fin lui fut en effet donnée » — qui est sa m
18
disjoint et altéré. « Car l’attente ardente de la
Création
, attend la révélation des enfants de Dieu, parce que ce n’est pas de
19
esprit qui le remue ». Penser dans le train de la
création
, reformer sans cesse toutes les formes selon l’intention qu’elles exp
20
être individuel, charnel, créé, et lié à toute la
création
. C’est par lui et à travers lui que la conscience peut percevoir la r