1 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 1. Le silence de Goethe
1 nement angoissé l’enfant : n’est-ce point pour se défendre qu’il parle si fort, qu’il vante ses pouvoirs avec une étrange exagér
2 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
2 n dit sans précédent, que fait l’individu pour se défendre  ? Et quels titres vient-il produire à l’existence ? Car il est excell
3 produire à l’existence ? Car il est excellent de défendre son moi, surtout lorsqu’il détient plus de réalité que l’anonyme. Mai
4 de l’esprit que justement l’on fait profession de défendre  ? La biographie de Kierkegaard va nous l’apprendre. On commencera par
5 e même au martyre. Ne soyez donc pas si pressé de défendre les « droits » de l’esprit : ce n’est pas une distinction. Et lequel
6 matérialisme au nom de biens qu’ils n’ont pas su défendre ni davantage sacrifier. Ils affirment trop tardivement que « l’argent
7 ndre parmi ceux-là pour qui l’esprit n’a pas à se défendre , mais bien à témoigner de son incarnation ; on ferait bien d’aller à
3 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
8 avance tout ce qu’il doit en dire. Je n’ai pu me défendre de cette impression à la lecture de Taille de l’homme, petit ouvrage
9 rguments. On peut aller jusqu’à soutenir que s’il défendait les Soviets, il n’en resterait pas moins, par le fait de son être mêm