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plus égales et sereines du Faust. Ce tempérament
démoniaque
, qu’on le libère de la maîtrise d’un caractère intéressé à la patienc
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e, le goût de la magie, et cet élan qu’il nommera
démoniaque
et qui tisse un dessin tortueux tout au long de sa vie secrète. Enfin
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en, cette lutte contre ses données anarchiques et
démoniaques
, cette lutte contre quelque chose en lui qui ne cesse de renaître tou
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ort bien : nietzschéisme agressif ou désespoir du
démoniaque
qui veut être soi-même « en haine de l’existence et selon sa misère »