1 rder. Il y faudra le dressage de la souffrance. L’ excès verbal de Werther couvre d’abord la voix intérieure, la renie même br

2 ’emportement d’une révolte qui traduit d’abord un excès féroce de vitalité plutôt qu’une souffrance physique, et va d’un mouv

3 travail « à mains » — rage de revanche — par son excès même est encore une évasion hors du réel. En cela il est romantique,

4 a une intention de catharsis, de délivrance par l’ excès . S’il rend la situation de l’homme tel qu’il le voit si physiquement

5 vrai finit par altérer le naturel ; mais par son excès même, elle nous rend attentifs aux défauts réguliers de tout autoport

6 t une sensualité qui s’opposera chez Ramuz à tout excès d’élaboration des images. Cet homme ne poussera jamais la volonté de

7 Ramuz, ses tics de langage sont très apparents : excès de et, de il y a que, de singulièrement (pris dans le sens de très),