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e : « Sort misérable, qui ne me permet rien que d’
extrême
. » Jacob Boehme, Paracelse, Swedenborg, lectures de son adolescence,
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’en 1854, il se mit à attaquer de front, avec une
extrême
violence, le christianisme officiel et les évêques qui avaient loué s
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Nous irons donc à ce grand solitaire, à ce témoin
extrême
et décisif dont la mort, comme un sceau d’éternité, attesta dans sa p
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c une minutie qu’elle ne supporte guère. L’état d’
extrême
lucidité que suscite en nous cette vision ressemble à s’y méprendre à
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re arbitre, telle qu’elle se pose dans les termes
extrêmes
où elle revêt sa vraie réalité : c’est l’Éternel qui commande — ou c’
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ela n’apparaît qu’à celui qui ose aller jusqu’aux
extrêmes
de la connaissance de soi-même et de la connaissance de la foi. Car l
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mourir pour nous sauver — et la mort est un acte
extrême
, non pas une médiation flatteuse et humaniste —, cela fait voir que n
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est que Nietzsche a poussé comme Luther jusqu’aux
extrêmes
limites de l’homme, jusqu’aux questions dernières que peut envisager
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la chimie nous dit qu’il est l’état de virulence
extrême
. Les journalistes et l’école ont décontenancé le langage, et par là m
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irs sur Stravinsky qui me paraît d’une importance
extrême
, non seulement parce qu’elle est la plus clairvoyante que Ramuz ait é