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nt procèdent à la fois le refus de la magie et le
goût
passionné de l’effort immédiat. Ce qui ne cesse de provoquer dans mon
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a psychologie du jeune Goethe : le romantisme, le
goût
de la magie, et cet élan qu’il nommera démoniaque et qui tisse un des
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que, dans la sérénité ou la souffrance, selon ses
goûts
, une harmonie, des mesures, une grandeur, peut-être même une éthique
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Une verdeur polémique qui peut flatter en nous le
goût
du pittoresque ; l’élan génial, la violence loyale d’une certitude pe
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traignent parfois davantage qu’ils ne servent nos
goûts
naturels. D’où le danger de didactisme que nous courons tous plus ou
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le seul tribunal vraiment redouté était celui du
goût
. (On le dit encore de nos jours, mais le goût n’est plus que poncif.)
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du goût. (On le dit encore de nos jours, mais le
goût
n’est plus que poncif.) La même volonté d’incarnation se manifeste da
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u’un homme recherchera jamais l’effort : mais par
goût
de l’effort. Si Ramuz tend à rejeter tous les intermédiaires culturel
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bli, le rêve d’expansion indéfinie, mais aussi le
goût
de la guerre (préfiguration de la mort, toujours rêvée par les grands