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e dernière fois la loi, au moment qu’il reçoit la
grâce
de lui échapper : Wer immer strebend sich bemüht Den können wir erlö
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e jour, sans assurances et sans préparation, à la
grâce
de Dieu, dans la confiance et l’inquiétude — on pourrait dire dans un
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igences : l’abîme entre les mérites humains et la
grâce
, l’abîme entre l’imitation et l’acte, l’abîme entre la religion et la
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e faut pas commencer par l’imitation, mais par la
grâce
. L’imitation suivra comme un fruit de la reconnaissance… Tout commenc
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ur seul le sait, dans l’instant de la foi, où par
grâce
il peut rompre ce lien. « Si vous voulez interroger, interrogez ! »,
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it cependant choisir. Ou bien tu crois à la seule
grâce
de Dieu, dans l’abîme infini où tu te vois, — ou bien tu crois aussi
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ctuel de son péché, ni dans l’ordre à venir de la
grâce
. Ainsi Maurras, lorsqu’il dénonce les mythes de l’hégélianisme social
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ain. Mais alors l’acquittement est possible et la
grâce
peut être accordée ! « Je suis le chemin », a dit le Médiateur. Mais
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, ironique et désespérée. II Le Château, où la
grâce
énigmatique Au Procès répond le Château, comme à la Justice, la Gr
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Procès répond le Château, comme à la Justice, la
Grâce
. Mais la Justice était inexorable : la Grâce demeure donc incertaine.
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, la Grâce. Mais la Justice était inexorable : la
Grâce
demeure donc incertaine. C’est la conclusion du Procès qui détermine
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pas approcher comme il faut, est exactement la «
grâce
» au sens des théologiens, le gouvernement de Dieu qui dirige les des
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présenteraient donc les deux formes — Justice et
Grâce
— sous lesquelles, selon la Kabbale, la Divinité s’offre à nous. » Sa
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mais bien sur la réalité du pardon gratuit, de la
Grâce
, incarnée, accomplie dans l’Histoire. Et certes, ce doute-là sera tou
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es efforts. Non point qu’il nie l’existence de la
Grâce
. Mais il répète avec les sages — lui, le fou — quæ super nos, nihil a
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ant qu’on n’a pas envisagé la doctrine de la pure
grâce
jusque dans son sérieux dernier, on peut soutenir que l’homme possède
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nous n’avons aucune liberté possible, que dans la
grâce
que Dieu nous fait. Toute l’argumentation de Luther vise le moment de
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utaire était ce désespoir et combien proche de la
grâce
». Car en effet : « C’est le plus haut degré de la foi, de croire que
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celle innée ». Ici, c’est la foi seule, don de la
grâce
, qui parle. Dans le conflit de cette révélation et des résistances na
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imer qui nous libère, et qui est le contenu de la
Grâce
: « Emmanuel ! Dieu avec nous ! » 62. Le paradoxe qui faisait le s
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jourd’hui. Aujourd’hui, c’est le titre du journal
grâce
auquel, chaque semaine ou presque, au cours de trois années qui marqu
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créé par le péché originel entre la nature et la
grâce
. L’Évangile nous le dit formellement : la chair n’héritera pas le Roy
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ut-il dire d’une expérience mystique privée de la
grâce
, réduite à ses aspects purement humains ?) Le point de départ paraît