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s du tout supprimer les connaissances occultes du
héros
, mais au contraire les intérioriser, les instruire dans le microcosme
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it réjouir le monde entier, il ne sert de rien au
héros
; car le héros n’a connu son succès que lorsque tout était fini ; et
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onde entier, il ne sert de rien au héros ; car le
héros
n’a connu son succès que lorsque tout était fini ; et ce n’est point
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fini ; et ce n’est point par le succès qu’il fut
héros
, mais par son entreprise.39 Le temps de l’acte vient s’inscrire sur
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que la personne ? C’est la vision et le visage du
héros
, sa vision contre son visage, sa vision qui crée son visage. Le visag
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it de la Parole. À cause de l’instant éternel, le
héros
meurt toujours avant qu’il ne meure 45. C’est le secret dernier de l’
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tel homme existe. Que va-t-on faire de lui, de ce
héros
, n’est-ce pas, des valeurs de l’esprit que justement l’on fait profes
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peut-être, quitte à fleurir ensuite la tombe du «
héros
», dernière insulte54. Il s’agit de savoir maintenant au nom de quoi
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tre humaine condition. On dirait qu’il incite ses
héros
à pratiquer contre la vie bourgeoise une espèce de « grève perlée » :
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icable et monstrueux55 survenu dans la vie de son
héros
, Kafka nous amène à penser que le détail de l’existence banale, et le
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anœuvre ont plus de réalité que les vapeurs d’une
héroïne
de roman bourgeois. Le réalisme de Kafka réside dans la sobriété de s
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ristique du rêve d’angoisse. Mais si Kafka ou son
héros
n’étaient que des rêveurs, il resterait alors une évasion : se réveil
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’immanence, qui est l’éthique du Second Faust. Le
héros
du Procès, Josef K. s’était vu condamné par la Justice, faute d’un av
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Ou encore : l’obscure inculpation qui pèse sur le
héros
du Procès. 56. Voir Romains III, 10-20, et aussi l’Épître aux Galate
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lassitude et d’empêchement où sont maintenus les
héros
du Procès. Il se peut que la tuberculose, dont Kafka devait mourir, a
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intime de l’auteur à celle qu’il fait subir à son
héros
. Je suis certain qu’en fin de compte, Kafka reste beaucoup plus proch
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précisément dans le passé. Moritz décrit ainsi le
héros
d’un de ses romans : « Il lui parut qu’il s’était échappé entièrement
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l poursuivant l’image d’Aurélia, Anton Reiser (le
héros
de Moritz) la fait dès l’enfance, lorsqu’il s’interroge sur ce qu’est