1 1944, Les Personnes du drame. II. Liberté et fatum — 5. Luther et la liberté de la personne
1 son dynamisme créateur. Tension dont le débat du libre arbitre , opposant Érasme à Luther, permet de définir symboliquement les pôles
2 ertions de Luther, ni dans sa négation joyeuse du libre arbitre . Ses coups violents n’ébranlent plus que le vieil homme, celui qu’il
3 docteurs de tous les siècles », pour soutenir le libre arbitre religieux, c’est-à-dire : le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer
4 philosophe ni en métaphysicien, que Luther nie le libre arbitre . Ceci pourrait suffire, et doit suffire en droit à réfuter l’objectio
5 n vain, si nous avons pu dégager l’alternative du libre arbitre , telle qu’elle se pose dans les termes extrêmes où elle revêt sa vrai