1 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 1. Le silence de Goethe
1 tombée, il n’en poursuit pas moins son « activité littéraire  ». Ces deux expériences seraient antithétiques si elles étaient super
2 es, ce qui n’est pas même le cas. Du point de vue littéraire , la confrontation serait absurde, j’en conviens. Mais notre optique n
3 es choses un écrivain. Ce n’est donc pas l’aspect littéraire de ces expériences qui doit conditionner notre vision. Non point qu’i
4 ons, nous, combiné tout cela avec un compte-rendu littéraire de l’aventure… Car il n’est pas donné à beaucoup d’hommes de devenir
5 ns éthiques et dans le contraste des réalisations littéraires . « Mon esprit, prends garde ! Pas de partis de salut violents. Exerce
2 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 6. Le Journal d’André Gide
6 Il est probable aussi que le journal est un genre littéraire inférieur, pour cette raison qu’il est toujours trop facilement intér
7 la distance qui sépare de la sienne ma génération littéraire . Notre culture est beaucoup plus philosophique — je simplifie — que l
8 beaucoup plus philosophique — je simplifie — que littéraire . Non point par préférence, loin de là. Mais les problèmes qui se pose
3 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
9 u’il fait, par occasion, d’un terme roturier, non littéraire . Ramuz c’est le contraire : « Autarchie, — comme ils disent »… « Il y
4 1944, Les Personnes du drame. IV. Une maladie de la personne — 8. Le romantisme allemand
10 out jaillissement du langage, de toute expression littéraire . « Où trouver les mots ? », gémissent-ils. La plainte est sincère et