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t mesurer le degré de tension du combat spirituel
où
l’homme devient personne, et « s’autorise » d’une vocation unique. Po
2
el. Encore n’est-il guère isolable de cette œuvre
où
l’« autre » l’engage. Finalement nous ne voyons que l’œuvre, c’est-à-
3
bel et bien dans son évolution une de ces crises
où
l’être spirituel découvre sa forme véritable. Si, comme chez Goethe,
4
ssance, à cet acte de fécondation spirituelle par
où
l’homme pénètre dans la réalité mystique. Et cet acte ne peut se prod
5
plus profond silence de l’esprit, dans la région
où
seul accède celui qui sait préserver sa passion au sein d’une intermi
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l, dès qu’il atteint les régions de haute tension
où
la seule « orientation » qu’il adopte suffit à déterminer une suite d
7
problème de l’univers, mais bien pour rechercher
où
tend ce problème, et ensuite se maintenir entre les limites de l’inte
8
t d’une telle rupture. Elles sont le champ même13
où
Rimbaud se livre à l’expérience spirituelle, où il se livre tout enti
9
3 où Rimbaud se livre à l’expérience spirituelle,
où
il se livre tout entier. C’est là sa pureté ; mais c’est aussi ce qui
10
e nous porte en des régions nouvelles de l’esprit
où
l’action redevient notre seul critère de cohérence. C’est dire que no
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urables. Il n’est pas de grandeur perceptible, là
où
n’existent pas de mesures. Mais où chercher, chez Goethe, les élément
12
erceptible, là où n’existent pas de mesures. Mais
où
chercher, chez Goethe, les éléments de tension et les mesures ? Où, s
13
Goethe, les éléments de tension et les mesures ?
Où
, sinon en lui-même, je veux dire entre ce qui lui fut donné et ce qu’
14
équilibre si chèrement conquis, cette lutte enfin
où
résident sa tension et sa grandeur propres, comment ne pas voir qu’el
15
loi la plus profonde de sa nature. Ces dix années
où
, pour reprendre la comparaison du chêne, Goethe se fait un tronc, une
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promenade en ville. On le transporta à l’hôpital,
où
il mourut paisiblement « en saluant tous les hommes ». Le seul événem
17
e le second document dans le journal de l’hôpital
où
vint mourir Kierkegaard. Un interne a transcrit les déclarations du m
18
ndre son être avec un jeu, bien plus, avec ce jeu
où
le hasard n’a point de part, et où l’échec final est l’œuvre d’une sé
19
s, avec ce jeu où le hasard n’a point de part, et
où
l’échec final est l’œuvre d’une sévère réflexion. Cela suppose une vu
20
ute grandeur humaine est prévisible dès l’instant
où
l’homme s’élance vers un destin qu’il s’est choisi, et qui est le mas
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portants, tant d’hommes « jouent » leur sérieux :
où
est la différence ? « L’apôtre Paul avait-il un emploi officiel ? —
22
Archimède, hors du monde, c’est une chambre haute
où
l’homme prie en toute droiture. »24 Un solitaire devant Dieu. Alo
23
un autre principe d’unité n’existe, au sens actif
où
Kierkegaard emploie ce mot. Si l’on ne croit pas en Dieu, c’est-à-dir
24
veut déterminé. Or il l’est dans la mesure exacte
où
il l’accepte ; mais dans cette mesure même, il cesse d’être humain. C
25
nous permet seule de franchir ce cercle enchanté
où
nous maintient l’argument du démon — le serpent qui se mord la queue.
26
obéir à l’ordre qu’il reçoit de Dieu, — n’importe
où
et n’importe qui, à n’importe quel ordre reçu, et sans nulle préparat
27
incarnation. Ainsi l’acte de foi détruit le temps
où
il a lieu, mais comme la plénitude détruit le relatif. Il est ce cont
28
e pécheur seul le sait, dans l’instant de la foi,
où
par grâce il peut rompre ce lien. « Si vous voulez interroger, interr
29
s on pourrait dire : sa patience. Car il se tient
où
Dieu l’a mis, et ce n’est plus une dérive. Il vit dans la forme du mo
30
’imaginer que l’acte est puissance de l’homme : d’
où
l’impossibilité de l’oser. Celui que la foi vient saisir sait mainten
31
ci seul sur le chemin ; mais je vois des visages,
où
s’agitait la foule. Nous ne voyons aucun visage ailleurs que dans l’a
32
hrétienne, est au-delà de toute vraisemblance, là
où
précisément l’on renonce à la vraisemblance. 43 » Parce qu’il faut cr
33
aucune réalité si chacun n’est pas à sa place, là
où
la vocation de Dieu l’a mis. Supposez qu’un tel homme existe. Que va-
34
ce n’est peut-être possible que si l’on sait bien
où
l’on va. À quoi tend la pensée de Kierkegaard ? Contre la presse et l
35
ce de Kierkegaard se limite à l’instant du choix,
où
l’homme s’engage « en vertu de l’absurde », sur le chemin que Dieu lu
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hète de nos malheurs, nous retournons à l’origine
où
il se tient, nous mettons en lui notre espoir de trouver un autre che
37
re de Kierkegaard sur notre temps ! Dans un monde
où
règne la masse, règne aussi le sérieux le plus pesant. On ne rit pas
38
ois à la seule grâce de Dieu, dans l’abîme infini
où
tu te vois, — ou bien tu crois aussi à ce sérieux de l’existence symb
39
aurait se comparer qu’à la vocation qu’il reçoit.
Où
l’orgueil trouverait-il encore à se loger chez un être à ce point sim
40
é qu’il n’est plus qu’obéissance — dans la mesure
où
il agit — et pénitence — dans la mesure où sa vocation le dépasse ? S
41
mesure où il agit — et pénitence — dans la mesure
où
sa vocation le dépasse ? Si Kierkegaard condamne la foule, ce n’est p
42
antiques. Je suis sujet, mais il reste à savoir d’
où
vient ce je, comment il peut agir. S’agit-il d’un impérialisme du moi
43
tend au réveil. Il nous saisit à ce moment précis
où
tous les systèmes s’évanouissent devant l’effroi du choix concret. Ma
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ussi présence au monde. Dans ce temps de la masse
où
nous vivons, le « solitaire devant Dieu » est aussi l’homme le plus r
45
dont il serait possible de sortir, dans la mesure
où
l’on connaît ses règles. C’est ainsi que l’on a tenté d’assimiler la
46
remise en mouvement : et à partir du point précis
où
la vision de Kafka « l’arrêtait ». « Nul ne vient au Père que par moi
47
lan — d’un saut dans la vie de la foi — le moment
où
le corps se ramasse et feint de refuser le saut pour mieux se détendr
48
n et aggrave la conscience de l’angoisse, ce vide
où
l’homme demeure et ne peut demeurer. Si la foi survenait dans sa vie,
49
uleuse, ironique et désespérée. II Le Château,
où
la grâce énigmatique Au Procès répond le Château, comme à la Justi
50
s contient tous, on peut dire que ce « Château »,
où
K. n’obtient pas le droit d’entrer et dont il ne peut même pas approc
51
s Écritures. Enfin, l’antagonisme entre l’auberge
où
descendent les Messieurs du Château, et la Chaumière où vit la famill
52
cendent les Messieurs du Château, et la Chaumière
où
vit la famille méprisée de Barnabé, me paraît correspondre à la lutte
53
e à nos diverses facultés, et reste le seul monde
où
nous avons à vivre. Mais bien que rien n’y soit changé en apparences,
54
c’est leur foi qui le révèle dans l’instant même
où
elle révèle le pardon. Selon l’image de Thérèse d’Avila, souvent réin
55
able, et cependant génialement attesté par un art
où
tout signifie que la signification suprême reste une énigme ! L’espèc
56
ussi devenir une simple école de personnalités… D’
où
la méfiance où beaucoup de chrétiens tiennent le sobre activisme de F
57
e simple école de personnalités… D’où la méfiance
où
beaucoup de chrétiens tiennent le sobre activisme de Faust. Au lieu d
58
un percepteur61 ? Nous sommes ici dans un domaine
où
l’on ne saurait imaginer de certitude non équivoque. Car c’est là le
59
pages, que par le biais de leurs expressions : là
où
leurs expériences deviennent comparables, soit qu’elles s’opposent te
60
irituelle de l’état de lassitude et d’empêchement
où
sont maintenus les héros du Procès. Il se peut que la tuberculose, do
61
pour débrouiller et supprimer les faux problèmes
où
la Diatribe voulait l’embarrasser63. Ensuite, ce refus total, ou mieu
62
aison, tout attachée à notre chair, à notre temps
où
elle s’est constituée, soit capable de concevoir ce paradoxe ou ce sc
63
e, telle qu’elle se pose dans les termes extrêmes
où
elle revêt sa vraie réalité : c’est l’Éternel qui commande — ou c’est
64
ment de la décision, et néglige les moyens termes
où
voulait se complaire Érasme. Le problème du salut est un problème de
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contraire, ils ne la retrouvent pas dans un plan
où
elle reste insoluble. Érasme était encore un catholique ; son humanis
66
ns encore adroit de ne point avouer l’incertitude
où
pareil livre entraîne le jugement. Gide a tant répété : Ne jugez pas
67
es font pressentir un drame secret, un nœud vital
où
peut-être réside la cause des plus étranges contradictions que Gide s
68
es fenêtres par excessive défiance d’une symétrie
où
l’on serait tenté de s’arrêter…) Faute d’un « jugement » que ces 1300
69
et toutes ces aquarelles et ces tableaux de genre
où
s’amuse et s’attarde la maîtrise, on peut prévoir que la valeur d’un
70
eur ; mais bien durant ces périodes de dépression
où
j’avais besoin de lui pour me ressaisir, et où je me montre dolent, g
71
on où j’avais besoin de lui pour me ressaisir, et
où
je me montre dolent, geignant, pitoyable ». « Si plus tard on publie
72
grand profit à tirer de ces examens de conscience
où
l’on parvient toujours à découvrir de mesquins ressorts à n’importe q
73
oliques. Gide fut élevé dans un milieu calviniste
où
la religion paraissait se réduire à ces deux éléments que Calvin cons
74
e, dans les périodes de dépression théologique. D’
où
le ressentiment qu’à son égard conçoivent beaucoup de protestants de
75
ralisme néo-protestant et du dogmatisme romain. D’
où
son horreur congénitale des tours de passe-passe religieux. En somme,
76
réduire celles-là, par une série de choix vitaux
où
s’exprime l’être en action, c’est-à-dire sa tendance dominante, le st
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davantage qu’ils ne servent nos goûts naturels. D’
où
le danger de didactisme que nous courons tous plus ou moins. À cet ég
78
énérations qui nous suivront : je prévois le jour
où
nos cadets nous opposeront l’exemple du probe adversaire des orthodox
79
es sur Ramuz Il faut dissimuler la profondeur.
Où
donc ? À la surface. Hugo de Hofmannsthal. Toute méthode féconde est
80
nscrivent aussi bien que l’allure des pentes. « D’
où
cette démarche qu’ils ont ; d’où encore la nécessité quelquefois de r
81
des pentes. « D’où cette démarche qu’ils ont ; d’
où
encore la nécessité quelquefois de refaire son pas, parce que la pent
82
b — dont Ramuz nous a traduit quelques passages —
où
toute une théologie s’exprime entièrement par des choses, s’agît-il m
83
châtié, comme on disait dans les salons, au temps
où
le seul tribunal vraiment redouté était celui du goût. (On le dit enc
84
ces et intérêts, instincts et conduite sociale. D’
où
naît une littérature d’intrigues pour laquelle il est clair que Ramuz
85
incarnation, devait le conduire à créer un milieu
où
tout être se traduisît immédiatement par un paraître ; en sorte qu’on
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façon concrète ; ainsi le maniement d’un outil. D’
où
le reproche de puérilité que lui adressent ceux qui par exemple n’hés
87
périodes qui marquent dans l’Histoire sont celles
où
la forme d’un mythe affleure, s’incarne et devient visible75. Ce sont
88
t perce l’interrogation que la réussite couvrait.
Où
va notre or, en réalité ? (dans quelle direction principale ?) Où ten
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en réalité ? (dans quelle direction principale ?)
Où
tend notre action centuplée par les machines ? Où tendent nos métaphy
90
Où tend notre action centuplée par les machines ?
Où
tendent nos métaphysiques et nos philosophies mal embrayées ?… Nous v
91
serait d’exprimer notre civilisation, en un temps
où
elle se trouve brutalement mise en question, posent eux-mêmes si peu
92
oi ou dans la violence ? Le temps vient cependant
où
la métaphysique se posera ou sera niée en termes concrets, en termes
93
t que l’on puisse éprouver devant certaines pages
où
la simplicité touche à l’affectation, il faut admirer dans ces textes
94
cette immense et secrète réserve d’innocence », d’
où
peut-être un jour sortira le peuple-poète, « le peuple tous en un ».
95
is son œuvre est bien au-delà de l’ère machiniste
où
la Russie s’engage. Un trait profond de son art m’en convainc : le se
96
Ramuz. Mais presque rien sur sa personne, au sens
où
je l’entends ici. La seule critique où se révèle un génie qui ressemb
97
e, au sens où je l’entends ici. La seule critique
où
se révèle un génie qui ressemble au sien, je la trouve dans un dessin
98
ur personne ; elle ne commence à vrai dire que là
où
leur personne prend fin. Elle n’est pas dans le contact aussi direct
99
e commencement de sa personne ; elle prend fin là
où
commence pour lui l’impersonnel. Elle est dans le contact aussi direc
100
de conventions et de prudences. Ramuz commence là
où
tous les intermédiaires sont supprimés. Goethe cherche une économie d
101
ort réactionnaire de Ramuz, dans les contingences
où
nous sommes soit, plus qu’il n’y paraît, conforme à l’éducation goeth
102
r effort, parce que l’homme est le plus humain là
où
les choses et les êtres attendent tout de son pouvoir restaurateur :
103
perdu de nouveau, puis retrouvé pour un instant)
où
on a en commun un Père et une Mère, où la grande parenté des hommes e
104
n instant) où on a en commun un Père et une Mère,
où
la grande parenté des hommes est entre-aperçue pour un instant. Car c
105
ut de sentier. Et il y a aussi cette malédiction,
où
on sent bien qu’on est (car rien autour de nous n’est vraiment éclos,
106
confond avec celle de la personne. Dans un essai
où
je crois distinguer l’aveu de soi le plus direct qu’ait jamais consen
107
and exemple d’une volonté tendue vers l’origine d’
où
procèdent à la fois les lois d’un art, la coutume d’un peuple et l’au
108
ns que Ramuz ne veut pas esquiver. Voici le temps
où
l’homme se voit mis en demeure de déclarer ses origines et ses fins.
109
déclarer ses origines et ses fins. Voici le temps
où
l’homme est attaqué par des puissances qui veulent son abdication tot
110
onsommer les ruptures nécessaires. Dans la mesure
où
de tels hommes incarnent déjà les valeurs que la révolution veut inst
111
aître. Il faut savoir ce que parler veut dire. (D’
où
l’on vient, où l’on va : tel est le sens.) Car le langage, parmi d’au
112
savoir ce que parler veut dire. (D’où l’on vient,
où
l’on va : tel est le sens.) Car le langage, parmi d’autres fonctions,
113
s « courant ». Dans cette affaire, celui qui sait
où
il va risque encore d’augmenter l’embarras, et de se faire copieuseme
114
profère son sens. » C’est un univers du discours,
où
les objets qui « veulent dire » s’assemblent en propositions (à l’hom
115
riété. » Et son corps lui est comme « un document
où
il suit les œuvres de l’esprit qui le remue ». Penser dans le train d
116
réponse, et des faims ancestrales sans pâture. D’
où
renaît peu à peu une angoisse nouvelle, une attraction comparable au
117
« Ce qui rêve en nous, c’est l’Esprit à l’instant
où
il descend dans la matière », mais c’est aussi « la Matière à l’insta
118
ière », mais c’est aussi « la Matière à l’instant
où
elle s’élève jusqu’à l’esprit. » Voilà bien la profonde ambiguïté où
119
qu’à l’esprit. » Voilà bien la profonde ambiguïté
où
naît le romantisme, et dont il vit ! Croire que le rêve ne révèle rie
120
ppose un état passionné, une certaine température
où
toutes choses deviennent translucides, peut-être aussi une nostalgie
121
nexprimable, dit la sainte ; et le poète : « Mais
où
trouver des mots pour dépeindre, même faiblement, la merveille de la
122
ent du langage, de toute expression littéraire. «
Où
trouver les mots ? », gémissent-ils. La plainte est sincère et tragiq
123
ne des expériences mystiques les plus diverses, d’
où
naît-il, dans quel souvenir d’une patrie heureuse et perdue ? On aura
124
moins sur les causes humaines du sentiment d’exil
où
leur passion s’éveille. Prenons l’exemple de Karl Philip Moritz : il
125
se confondre avec le fait de vivre en général. D’
où
l’idée qu’il doit expier la faute qu’il n’a commise que par son exist
126
ce refus, le moi perd peu à peu de sa réalité ; d’
où
le sentiment si fréquent chez la plupart des romantiques d’être mal a
127
ne devient proprement chrétienne que dans le cas
où
l’être aimé, sur la mort duquel on médite, est la personne du Christ
128
voilà justement ce qui répugne aux romantiques. D’
où
leur fuite dans un monde dont on ne peut rien dire. D’où encore le be
129
fuite dans un monde dont on ne peut rien dire. D’
où
encore le besoin qu’ils éprouvent d’affirmer surabondamment que l’on
130
a contradiction vitale dont ils souffraient, et d’
où
naissait leur désir angoissé de perdre leur moi personnel. Mais le mo
131
t entière dans ses rapports avec le monde réel. D’
où
le sentiment d’une culpabilité, inacceptable et inavouable (à cause d
132
er son unité perdue dans un monde supra-personnel
où
les limites hostiles s’effacent, où la passion peut s’épanouir, où l’
133
pra-personnel où les limites hostiles s’effacent,
où
la passion peut s’épanouir, où l’intensité de l’émotion remplace la v
134
stiles s’effacent, où la passion peut s’épanouir,
où
l’intensité de l’émotion remplace la vérité mesquine des juristes. Et
135
secret de la conscience allemande, dans le drame
où
se joue le sort de chaque personne. Oui, qu’il s’agisse de l’homme se