1 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
1 , on argumente contre sa souffrance, on craint sa pitié corrosive. Finalement on se rend et il refuse cette capitulation. On
2 al, et lors même qu’il y renonce ; concession, la pitié parfois presque sadique de Dostoïevski. Oui, même ceux-là. Même ces d
3 Rire du solitaire, qui ressemble peut-être à la pitié énigmatique d’un Dostoïevski. Ici tout le visage de Kierkegaard se re
2 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 4. Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
4 méthodique et infiniment ralentie — comme par une pitié fraternelle — qui anime cette expérience, pourrait faire soupçonner c