1 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 1. Le silence de Goethe
1 ’incorporer le plan de certains actes à Vérité et Poésie . Le drame s’ouvre sur un réveil : l’exercice sans frein des arts occu
2 libératrice comporte pour Rimbaud l’abandon de la poésie , alors qu’elle propose à Goethe, comme un exercice de choix, l’écritu
2 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
3 d’un visage. IVFormule d’une personne Leur poésie ne commence pas pour eux avec le commencement de leur personne ; elle
4 . Essayons d’en tirer une épreuve positive : « Sa poésie commence avec le commencement de sa personne ; elle prend fin là où c
5 x, au langage noble, aux objets de vitrines, à la poésie poétique, à nos formes habituées. Il prétend qu’il lui a fallu quinze
3 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
6 Il ne s’agit évidemment, ici et là, ni de la même poésie ni de la même connaissance. ⁂ Claudel choisit, contre le sens banal,
7 s active, la plus proche de la chose et du geste. Poésie , de poiein, ce sera : faire. Connaître, de cognoscere, sera : co-naît
8 ois dans de graves équivoques. Nulle magie, nulle poésie sacramentale, ne peut combler effectivement l’abîme créé par le péché
4 1944, Les Personnes du drame. IV. Une maladie de la personne — 8. Le romantisme allemand
9 de bonheur, de libération, d’aventure ! Toute la poésie romantique de même que la surréaliste, est à l’affût des « surprises