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blasphème de l’homme pieux, du moraliste, que de
prétendre
imiter le modèle que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la le
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mière fois un livre absolument profond. Non qu’il
prétende
percer les apparences du monde pour s’enfoncer dans un ésotérisme ; a
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e de l’ignorer et même que de le méconnaître : on
prétend
, sans l’avoir jamais lu, savoir qui il fut, qui il est. Certains ont
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tait vrai, je préférerais encore nier ce Dieu qui
prétend
voir plus loin que le terme de mes actions, — ce qui, avouons-le, les
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visible, de l’obéissance à une orthodoxie qui ne
prétende
pas s’emparer de l’Évangile, mais au contraire s’y ordonner. « Orthod
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à la poésie poétique, à nos formes habituées. Il
prétend
qu’il lui a fallu quinze ans pour découvrir que le « gazouillis » des
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e l’être obscur que le bon sens et la philosophie
prétendaient
mettre au ban de l’humanité. Et tandis que dans sa panique l’homme pr