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angage. Il serait très insuffisant de dire que le
remède
que Goethe s’applique est l’action. Nous sommes obligés, si nous voul
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son germanisme irrationnel par l’application d’un
remède
germanique, et rendre ainsi utilisable et communicable ce qui figurai
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ecin de Francfort qui se vantait de connaître les
remèdes
des alchimistes. Tel est peut-être l’Erlebnis qui fonde chez Goethe u
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agie dominée. La magie est ainsi, pour Goethe, un
remède
dont il doit arriver à se délivrer. Personne moins que lui n’a choyé